
Au fil des ans, il est devenu impossible d’épargner pour la retraite. Les pêcheurs de homard de classe B ont toujours encouru les mêmes dépenses que les pêcheurs de classe A (amarrage, assurance du bateau, entretien) tout en produisant beaucoup moins de prises. Dans l’incapacité de générer des économies importantes, leur espoir de retraite est devenu largement dépendant des revenus potentiels du permis lui-même.
Lorsque le permis expire, toute compensation pour les pêcheurs expire avec elle. Le permis ne peut pas être vendu ou légué à un membre de la famille. Les titulaires de classe B n’ont donc pas pu prendre leur retraite ni laisser quoi que ce soit à leur famille. Ils n’ont d’autre choix que de continuer à pêcher le homard.
Passer à l'actionAprès des années de traitement injuste, les pêcheurs de classe B cherchent à modifier cette politique, qui est perçue comme une punition dépassée. Il est temps d’aller de l’avant avec une nouvelle politique qui offre un traitement équitable aux pêcheurs âgés et des possibilités avantageuses pour de multiples parties, y compris le MPO.
Notre objectif est d’influencer une politique de gros bon sens, qui permette à ces pêcheurs de vendre ou de transmettre leur permis afin qu’ils puissent arrêter de pêcher tout en continuant à subvenir aux besoins de leurs proches.
Il est temps d’aller de l’avant avec une nouvelle politique qui offre un traitement équitable aux pêcheurs âgés et des possibilités avantageuses pour de multiples parties, y compris le MPO. Notre objectif est d’influencer une politique de gros bon sens, qui permette à ces pêcheurs de vendre ou de transmettre leur permis afin qu’ils puissent arrêter de pêcher tout en continuant à subvenir aux besoins de leurs proches.